Le rire vu par la science
La science prend le rire très au sérieux. Il existe même une science qui l’étudie : la gélotologie.
Le rire consiste en deux parties : un ensemble de mouvements et la production de sons. Lorsqu’on rit, le cerveau nous amène à activer ces deux processus en même temps.
Lorsqu’on rit de bon cœur, des changements se produisent dans de nombreuses parties du corps. Quinze muscles faciaux se contractent, notamment le grand zigomatique (le muscle principal en charge de lever votre lèvre supérieure).
Même les muscles des bras, des jambes et du tronc sont mis à contribution !
Dans le même temps, le système respiratoire est bouleversé par les mouvements saccadés de l’épiglotte (une structure cartilagineuse reliée au larynx, qui intervient lors de la déglutition).
Celle-ci ferme à moitié le larynx, perturbant la respiration et vous faisant haleter.
Lors d’un gros fou-rire, les conduits lacrymaux s’activent parfois, la bouche s’ouvre et se ferme et l’apport d’oxygène est rendu plus compliqué. Voilà pourquoi le visage devient souvent rouge lorsqu’on est hilare.
Des chercheurs (en gélotologie, donc) ont également suggéré que les humains possèdent un « détecteur » qui répond au rire en déclenchant d’autres circuits neuronaux dans le cerveau, ce qui, à son tour, génère plus de rires.
Cela pourrait notamment expliquer pourquoi le rire est contagieux.
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J’ai une amie qui a participé à un stage d’un week-end de rires. Elle m’a dit que non seuleme,t c’était génial sur le moment mais que ça a eu une répercussion sur sa vie en général. Comme quoi !
Oui, j’ai eu vent de ce type de stages. Je trouve ça très positif! C’est vrai que ça fait du bien de décompresser en s’en « payant une bonne tranche »!
Et en groupe, c’est encore mieux 😉