Out the Box a déjà dépassé la centaine d’articles publiés, et pourtant je n’en ai toujours pas consacré un seul à la notion qui m’a inspiré son titre. Il était donc grand temps de régler ce détail !
Car c’est quoi, finalement, penser « out of the box »? Voyons ce qu’en dit Wikipedia:
Thinking outside the box signifie, en anglais américain, penser différemment, de façon non conventionnelle ou selon une perspective nouvelle.
Penser différemment… D’accord, mais différemment de quoi ? Qu’est-ce qu’une pensée conventionnelle, et comment sait-on si l’on pense « in » ou « out of the box » ?
Qu’est-ce que la boîte ?
La définition que je vais livrer ici n’est pas conventionnelle, elle non plus. Elle est personnelle et issue de mon expérience de vie.
Si l’on traduit l’expression, cela revient à dire en français penser hors de la boîte, penser hors des sentiers battus. Pour moi, cela se rapproche grandement des notions d’ouverture d’esprit et de liberté.
Réfléchissons;
Qui édicte les normes ? Qui construit les conventions ? Qui établit les perspectives ?
Réponse : la société, dans tout ce que ce terme peut englober. C’est à dire vos parents, vos professeurs, vos amis, la télé, Internet… Tout ce qui, d’une manière ou d’une autre, peut avoir une influence quelconque sur votre libre-arbitre.
Les représentations sociales
Il ne s’agit pas ici de faire un discours anarchiste, où la société est rejetée car symbole de tous les maux. Non, pour vivre en société il faut aussi savoir être au fait de ses codes.
Tout ces codes sont regroupés sous la notion de représentations sociales. Cette notion complexe est aussi parfois appelée « savoir du sens commun », « modèle mental », etc.
Pour faire simple, une représentation sociale c’est une image préconçue que l’on se fait d’une chose et qui nous permet de la reconnaître rapidement. Cela se rapproche beaucoup du stéréotype, mais en encore plus complet.
On va ainsi attribuer plus ou moins consciemment certaines caractéristiques, valeurs et jugements à un objet abstrait pour tenter de lui donner un sens concret.
La boîte, c’est donc en quelque sorte toutes ces idées préconçues et étriquées, ces préjugés, ces raccourcis cognitifs qui confinent notre réflexion à des schémas connus et rassurants.
C’est tout ce que l’on est censé penser de par notre culture, notre éducation, nos expériences… et qui finit par limiter notre pensée, si l’on ne parvient pas à dépasser ces barrières psychologiques.
D’où vient cette notion, comment la dépasser ?
Se débarrasser de cette « pression sociale », alors même que nous sommes immergés dedans du matin au soir, est difficile (à moins que vous ne soyez un ermite perdu dans sa montagne, mais dans ce cas comment avez-vous accès à cet article ? ^^). Pourtant, vous verrez qu’il est tout à fait possible d’adopter des perspectives mentales différentes sans pour autant paraître pour un marginal.
Comme vous pouvez le constater, cette notion est plus élaborée qu’elle ne le semble de prime abord. Et parce que je ne veux pas faire un article long et indigeste, je vous invite à lire la suite de cet article la semaine prochaine.
Je reviendrai d’abord sur l’origine de cette expression. Puis, je livrerai des astuces pour se libérer tant que possible de ces pensées « formatées », voir les choses autrement et donc s’ouvrir grand la voie de l’innovation et de la créativité !
Enfin, je préciserai la foule d’avantages qu’il y a à penser hors des sentiers battus. Je parie que certains d’entre eux vont vous surprendre !
En attendant, si vous avez votre propre définition du « thinking outside the box », faites-nous en profiter !
D’ici là restez branchés et à la semaine prochaine 😉
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Bonjour Jeremy, j’ai toujours ressentie et subie cette « pression sociale » et je culpabilisais de ne pas être dans « la norme ». Aujourd’hui je suis bien contente de penser par moi même. On ne peux pas grandir en étant constamment gavées comme des oies.
zenie
Merci de bien vouloir lire ce message et de me répondre et vous pourrez le supprimer car je ne pense pas qu’il soit dans l’optique de votre site après je ne vous en tiendrais pas rigueur Merci Jeremy
Bonjour Jeremy je m’appelle valentin, je suis handicapé et je n’ai pas très bien compris le concept out of the box pourtant j’ai un Q.I. de 180 certes j’ai arrêter l’école en 6 ème j’ai été interné pendant dix longues années mais cela m’as tout de même permis d’apprendre et de comprendre les comportements humains j’ai été plus bénéfiques au psychologues qu’ils ne me l’ont été.
J’ai empêché 6 suicides il n’y en as eu que un seul que je n’ai pas réussi à empêcher, le tout premier car les infirmiers me connaissait mal ( à l’époque ) et croyais que je leurs mentais, il me disait que c’était pour avoir un prétexte pour que l’on fasse attention à moi, sur ce coup là il ont vite déchanter car deux heures plus tard il ont retrouver la personne ( dont je ne citerait pas le nom ) pendu dans sa chambre avec une lettre d’appel au secours ( dans sa poche) quelle voulait envoyer à son mari mais elle avais été rejeté par les infirmier et c’est à ce moment précis que j’ai aperçu quelle refoulait sa colère mais vu quelle n’était pas violente envers les autres elle s’est retourné cette colère contre elle ça m’as fait un choc quand j’ai réalisé que j’aurais pu empêcher que cela se produise et donc je me suis juré que cela ne se reproduirais jamais et pour l’instant j’ai tenu parole et à cause (ou grâce) à ce traumatisme j’ai juré de développer ce don d’empathie pour aidé mon prochain mais ce don est devenu un handicap ont n’as qualifié ce don par la suite d’empathie extrême.
Alors pourquoi je vide mon sac comme ça sur votre site, car j’ai besoin d’aide à mon tour pour me vider l’esprit, pour ne plus avoir à user de manipulation sur mes proches ou sur des inconnus ou à leurs mentir, car mon esprit emmagasine trop d’informations, alors dès que je sature je vide mon sac ou tout du moins dans ce cas précis une toute petite partie.
MERCI Jeremy
Cordialement Valentin
Bonjour Valentin,
Eh bien, quel récit !
Pour ce qui est de te vider l’esprit, c’est vrai que c’est parfois compliqué. Toujours cette petite voix dans la tête qui ressasse les mêmes choses, c’est pénible et usant. Pour me vider la tête quand des pensées négatives me trottent dans la tête, j’aime bien écouter de la musique calme pour me détendre. Si ce sont essentiellement des problèmes qui tournent dans ta tête, essayes de focaliser sur la façon de les résoudre plutôt que sur eux-mêmes.
Si la solution n’est pas en toi mais que tu te soucie pour quelqu’un d’autre, vois ce que tu peux faire pour elle et si tu ne peux rien faire (ça arrive, crois moi), essayes de prendre de la distance vis à vis de ça et de lâcher prise. C’est un vrai exercice de développement personnel, ce « lâché prise », renseigne toi sur Internet il y a des site qui donnent de très bons conseils pour y parvenir.
De toutes façons, on ne peut pas résoudre les problèmes du monde entier. Le tout, c’est de parvenir à le réaliser et à ne pas culpabiliser sans cesse. Bon courage en tout cas 😉
[…] Je relis fréquemment « Libérez votre créativité » de Julia Cameron ou des articles qui abordent de ce sujet. Il y a aussi le blog « Out of the box », penser en dehors de la boîte ou de manière divergente, un site très riche d’enseignement et inspirant = Out of the Box […]